Confitures Beyer : sécuriser les approvisionnements

Pfastatt/68

« Avec le dispositif ORACES, la SODIV nous a aidés à renforcer nos capitaux propres. » © Serge NiedHausse du prix des matières premières, difficultés d’approvisionnement, baisse de la production dans les pays fournisseurs : la crise sanitaire n’a pas épargné le fabricant de confitures qui doit repenser son modèle économique. « Pour continuer de produire et gagner de nouveaux marchés, nous devons sécuriser nos approvisionnements en fruits, en verre et en métal et accroître nos capacités de stockage, affirment Delphine et Philippe Beyer, aux commandes de l’entreprise. Nous devons donc acheter par anticipation pour disposer d’un stock d’avance. Cela nécessite des fonds supplémentaires, car l’investissement est conséquent. Avec le dispositif Obligations Remboursables en Actions pour la Croissance et l'Emploi (ORACES), la SODIV nous a aidés à renforcer nos capitaux propres qui nous permettent de sécuriser nos financements bancaires et de financer la croissance de notre activité. » Beyer peut ainsi poursuivre son développement sur de nouveaux marchés - en Scandinavie, en Espagne, aux États-Unis et aux Émirats arabes unis - et de nouveaux segments comme le fruit à tartiner qui s’inscrit dans la politique de lutte contre le diabète.

Confitures Beyer
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