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Chère amie : la brasserie chic de l’Hôtel des Postes

Strasbourg

Après avoir transformé en 2021 une ancienne banque pour en faire The Drunky Stork Social Club, Diabolo Poivre vient de métamorphoser l’ancien centre de tri postal de l’Hôtel des Postes en brasserie moderne et élégante.

L’ancien centre de tri postal s’est métamorphosé en brasserie moderne et élégante. © PreviewInauguré en mars dernier, le nouvel établissement du groupe est installé dans le bâtiment de style néogothique emblématique de la Neustadt construit entre 1896 et 1899 et rénové en 2019. « Quelques rares éléments de cette époque, comme les piliers en fonte, les arches en grès et les voûtes de l’entrée ont été conservés et restaurés. Nous avons baptisé notre brasserie « Chère Amie » comme un clin d’œil au passé postal du lieu », explique Jérôme Fricker, codirigeant de Diabolo Poivre. C’est effectivement le thème de la correspondance épistolaire et de l’écriture galante qui s’affiche sur les boiseries illustrées de personnages en train de lire, issus de tableaux célèbres. Signée par le designer Pascal Claude Drach, l’adresse combine codes contemporains et esthétique classique. Sous une triple verrière à cinq mètres de hauteur, la salle principale de 300 m² accueille un impressionnant bar elliptique de 12 mètres de long coiffé d’une structure monumentale sur laquelle flottent 400 coupons textiles comme autant de pages blanches. Ce vaste comptoir est doté d’un bar de la mer à l’une de ses extrémités et d’un comptoir à pâtisseries à l’autre bout. L’espace principal entouré de banquettes en chêne et en skaï se prolonge sur une salle arrière voûtée de 125 m². Celle-ci s’ouvre sur la cour intérieure réhabilitée de l’Hôtel des Poste à travers cinq baies vitrées. Des tables lovées dans des alcôves permettent de bénéficier d’un peu plus d’intimité. Enfin, une annexe de 55 m², située dans l’ex-bureau d’accueil postal est destinée à être privatisée pour des séminaires ou événements accueillant au maximum 50 participants. À noter le soin apporté au confort acoustique dans l’ensemble du restaurant, ce qui est un exploit compte-tenu du volume.

Côté cuisine

Alexandre Haudenschild et sa brigade d’une vingtaine de personnes officient dans la cuisine ouverte sur la salle. Formé au lycée hôtelier d’Illkirch, le chef de 34 ans a fait ses premières armes au Buerehiesel (Strasbourg), à Maison Rouge (Vendenheim), ainsi qu’à La Corde à Linge et à La Hache, deux autres établissements strasbourgeois de Diabolo Poivre. « Nous proposons une carte de brasserie moderne avec les incontournables fruits de mer et choucroute, mais aussi des plats plus créatifs comme le filet de bar et sa bouillabaisse et le saumon mariné au citron vert, aneth et blinis », poursuit Jérôme Fricker. Pour rester dans le thème postal, il faudra opter pour « l’enveloppe » : un entremet chocolat aux épices Collin. En résumé, c’est un établissement hors norme qui vient d’ouvrir ses portes après onze mois de travaux et un budget de quatre millions d’euros (hors murs). Une fois de plus, Diabolo Poivre, qui exploite sept restaurants* et deux bars** à Strasbourg, ainsi qu’une brasserie à Lyon, a su créer l’événement. > P.H.

* La Corde à Linge, The Drunky Stork Social Club, East Canteen (2), La Hache, Square Delicatessen, Tzatzi
** Jeannette et les Cycleux, Supertonic

Chère Amie
5 avenue de la Marseillaise à Strasbourg • 03 67 68 70 70
chere-amie.fr
Chère Amie 
chere_amie_strasbourg 


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